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LE feuilleton. 3.




Partie 3.

Retrouver un endroit qui a été caché dans le parchemin de son inconscient, c'est une chose. Comprendre pourquoi cela remonte à la surface à ce moment précis, c'en est une autre. Alors il y a toujours de bonnes âmes (?) qui vous rétorqueront que c'est le moment. Point. Oui... mais peut-on se demander du « pourquoi » ou sommes-nous déjà #Bouddha ? Il est évident que ce qui arrive est là parce que c'est le moment. Si ce n'était pas le moment, ce ne serait pas présent. Le temps présent... OK ?


Alors est-ce que ceci calme les inquiétudes formalisées par le « pourquoi » ? Non. Qu'est-ce qui inquiète ? Le changement. Souvent. Tout le temps en fait. Pourquoi ? …Parce que c'est le moment, non ? Ce n'est pas la phrase fétiche du moment, ça ne répond pas à tout sur tout ? Ah ! Ah ! Ah !

Eh non, cette fausse réponse ne répond pas à toutes les questions. Heureusement.




Ce qui remonte à la surface de notre #inconscient le fait parce que c'est prêt à être :

. compris,

. mis en œuvre,

. transformé en joie,

. guéri,

. passerelle vers un ailleurs meilleur (au sens propre comme au figuré)...

Entre autres.


Notre inconscient étant comme une carte au trésor, quand l'on découvre un indice, c'est parce que nous sommes EN CHEMIN vers le trésor. Sinon, on aurait eu une embûche. Là-bas, pas d'embûches... C'était dingue de fluidité et de facilité. Incroyable. Le but de la vie, le trésor, si on veut, c'est être #heureux. Pas atteindre le #bonheur mais être le bonheur. Oui, même si la formule claque bien et est sonnante, on ne trébuche pas, hein;-) ! Non, on se campe bien droit sur ses deux pieds et on continue, sur le chemin. On chemine. Vers soi. En fait, oui, voilà, vers soi. Comme un petit ver à soie... qui se transformera.


Sauf qu'une partie de notre cerveau déteste, hait, abhorre... le changement. Alors il est bon d'en tenir compte, de ruser, tel le petit renard bien joli et très malin.




Connaître et reconnaître ses mécanismes de #peur, c'est très bien. C'est le minimum vital sur Terre. Moins on a de peurs, moins on a de freins... et, surtout, plus on a la foi, plus on a confiance. Et cela, c'est carrément chouette ! On est, d'office, protégé, guidé vers le bon, la lumière...


Cela me fait penser, je ne sais plus comment mais tant pis, sans transition... Cela me fait donc penser à autre chose : un jour, je demande à mes guides de me dire si je ne suis pas vraiment un être seul sur Terre, dans sa bulle toute mimi mais toute vide... Oui, d'accord, il faut un peu déprimer pour cela sinon ça ne marche pas, pas la même vibration ! Ah ! Ah ! Ah ! En fait, c'était un moment de... dé-pression. Il y avait eu une grosse pression sur les jours précédents, au niveau professionnel notamment, et puis, hop ! Tout se réalise bien... Et s'invite un moment de dégonflage, de dé-pression... et, émotionnellement, bim : dépression de quelques heures, au fond du jardin.

Ceci s'accompagne cependant d'une intuition, immédiate (après un décalage de quelques minutes, tout de même...), m'interpellant de la sorte : « coaching ». Hum... Je ressens que je peux chercher la présence d'un coach, de quelqu'un qui a de bonnes idées, de bonnes expériences de la vie. OK. Sauf que ma question, c'est « suis-je le seul être à se sentir seul dans sa bulle de réalité terrestre ? » et que je ne considère pas cela comme de la science-fiction... Bon, alors autant affûter sa malice de renard et avancer en sentant les traces laissées comme signes... par l'intuition !


Quelques minutes plus tard (donc immédiatement, on a bien compris, hein !), j'arrive sur Facebook, réseau de mise en relation, réseau social... Donc je subodore que je ne suis pas un être seul. OK. Je continue et arrive, au bout d'un scrolling peu long, ouf, sur la vidéo... LIVE... de deux spécialistes de la question ! En américain car ils le sont ! Youpi ! Je prends place et m'installe confortablement, nous sommes tous dans la même salle de conférence, finalement. Youpi ! Cela rit, cela renseigne, cela informe, cela... conforte. Réconforte, aussi. Ouf.

Et puis, j'entends, entre autres choses très intéressantes : « En ce moment, un courant de dépression semble traverser certains d'entre vous, jusqu'à se demander si vous n'êtes pas seuls à traverser ces sauts quantiques, ces randonnées intuitives... Eh bien nous vous le disons ! Non, vous n'êtes pas seuls. Regardez les participants : ils sont là, comme vous, à attendre de cette conférence quelque chose qui se rapporte à cela... ».

OK, merci Kaya et Julia, youpi youpi.


Ouf ! Je constate que mon énergie remonte en flèche. Ma dépression aura mis moins de temps à se mettre en place et à vivre que si j'avais dû prendre rendez-vous chez le médecin, attendre la date, prendre les médicaments... OK, on a compris : mon meilleur allié, médicament, c'est mon intuition.


J'en ressors sereine et amusée. Je pense alors avec force que je suis accompagnée, bien accompagnée, où que je sois, avec qui que je sois.


Et... Tadam !


Entre cinq et dix minutes plus tard : on fait bouger une bougie blanche chez moi, signal pour moi d'une personne décédée il y a peu. Non pas que chaque bougie blanche est le signe d'un décédé... non, simplement, cela fait partie de nos codes de reconnaissance, à cette personne en particulier et à moi. Voilà.

Créez vos codes. Émettez, recevez. Pour cela, il est nécessaire d'être observateur, attentif, réceptif, émotif, en intelligence émotionnelle, bon... Oui, bon. Autant le dire. Si vous êtes mauvais, méchant, avec des pensées du genre « il faudrait que je fasse ceci à bidule pour récupérer ensuite son argent »... qu'attendez-vous que le mouvement de la vie fasse pour vous ? Du bon ? La blague... Mettez-y vous, vous, au BON ! Allez ! Intégrez dans vos pensées, vos actions, vos faits, vos gestes, autrui et vous-même. Pensez autant à l'autre qu'à vous. Penser à soi, c'est d'abord nécessaire pour apprendre à nager dans le flux des nouvelles vagues (d'énergies ou pas). Penser à l'autre, c'est obligatoire pour être en bonne harmonie avec le Vivant.



Récapitulons. Je manque d'énergie, je pense et ressens que je ne sais plus trouver de repères, je prends alors la décision d'écouter l'intuition entendue, visant à demander de l'aide, je demande de l'aide, j'observe et m'actionne dans le bon sens pour aller vers cette aide, j'écoute (la vidéo), je comprends, oui, je comprends car j'avais formulé l'intention de changer de situation, je reçois l'information théorique, le réconfort via la conférence, la présence des autres vivants terrestres... ET... un message, subtil (enfin, vu la tête de la bougie à terre, pas subtil, ah ! Ah ! Ah!), que l'au-delà est là ! Oui, là ! En moins d'une heure. C'est OK, le côté magique d l'existence quand on s'aligne à sa propre intuition qui n'est rien d'autre qu'une forme d'intelligence performante ? Ou on en reparle ?


Allez, il y a une autre anecdote qui me vient en tête... Un jour, j'avais une question importante à résoudre. Concernant une relation... complexe.


TOUS DROITS RESERVES. MARINA PETITDEMANGE. 2020

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