C'est juste une nouvelle sauce...
![](https://static.wixstatic.com/media/db1de6e638a34c02a16fb90cdb3dd63f.jpg/v1/fill/w_980,h_1154,al_c,q_85,usm_0.66_1.00_0.01,enc_avif,quality_auto/db1de6e638a34c02a16fb90cdb3dd63f.jpg)
Il y a eu la collection « Un jour » (sur Facebook, surtout)... Les textes qui commençaient un jour, finissaient ledit jour et parlaient de la vie de tous les jours, d'inspiration clairement psycho-énergétique toutefois. Et comme j'aime le renouveau, le créatif, voilà une autre collection : elle n'est pas encore nommée. # C'est « juste » une nouvelle sauce... Je vous promets, je tente de bien respirer, de me dire « allez, ce n'est pas grand chose, ça passera... » et puis ça revient ! La guidance est là, le message doit être passé. Et en même temps, à travers cela, j'expérimente aussi au niveau émotionnel afin de repasser le tout dans les sas de décompression : est-ce utile ? Est-ce bon ? Est-ce que j'aimerais recevoir ce que j'envoie ? La guidance... le sujet d'aujourd'hui... la transmission... D'accord, on ouvre les vannes. Je vous préviens, c'est une invitation à affûter votre discernement !
Energéticienne, auteure « bien-être », mais aussi en tant que particulier, depuis quelques années que je traîne mes guêtres dans le milieu spirituello-bien-être, j'observe, j'entends, je réponds, je ferme, j'ouvre, j'hallucine, je teste, je refuse de pratiquer, je ne cautionne pas, je rêve, j'écarquille les yeux, je me bouche les oreilles, je ris, je pleure, j'expérimente, je suis vampirisée, je referme, je sauve, je me victimise, je réouvre, je crée, je reçois, je partage, je donne, je frappe dans les mains, je suis dans la gratitude, je tombe de haut, je m'émerveille, je n'y crois pas une seconde, je suis toute ouïe, je suis bouchée à l'émeri, je suis étonnée, je suis esbaubie, je suis ancrée, je suis dans ma tour d'ivoire, je suis en reliance forte, je suis à l'écoute, je suis écoutée, je suis heureuse, je suis malheureuse, je suis ombre et lumière, un vrai festival, manque plus que les sons... Ah non, les sons sont là, tambours, steel drum, voix, langage.
Tour à tour.
Tout cela.
Et puis, plus rien de ceci ou cela.
Bref, je suis. Voilà, fin de l'article. Non, blaaaague:-) !
Et puis là, j'avoue, je sature.
Je suis et reste énergéticienne.
J'accompagne énergétiquement.
Mais les gouttes d'eau... le vase... « là où je vais je suis », qu'i' disait, le Jon (Kabat-Zinn)... ben ouais, je transporte avec moi toute ma smala de « mini-moi », de parts de moi. J'évite que ça n'éclabousse, que ça ne projette. Autant que je le peux.
Je relis François, saint sur son assise. Je pleure. Atterrée. Peu l'ont compris, en vérité. Depuis le lycée, je suis dans ses pas. Il mio fratello ucello. Une révélation (plus de 20 ans plus tard, les quelques lignes sont toujours là). Au début, je ne comprenais rien. Et puis... Je décrypte les écrits de Marianne, so long comme chantait Leonard (Cohen) avant de verser dans les versets dogmatiques et de planter sa guitare dans le pot de weed. Marianne Williamson, qui nous invite depuis des années à être notre propre lumière afin de changer le monde. Et puis elle se lance dans la campagne présidentielle américaine.
J'ai peur.
Pour elle.
Pour nous.
Politique. J'entends Peau-Lit-Tique. Ou Poli-Tique... Ou encore d'autres combinaisons mais qui ne semblent pas éviter le toc des énergies relativement basses des bas-fonds des barons de la pègre non intègres dans leur bla-bla car... ils n'ont pas le cœur ouvert.
Voilà.
Alors oui, il faut voter.
On le dit.
Il faut. Faux... ?
Ai-je l'élan ?
Ai-je l'envie ? En vie... Pour un système mort ?
Ai-je la ressource ?
Non, il y a bien des années que j'ai résolu cette question : je ne donne pas de mon énergie à une organisation truquée, achetée, à jeter. Comme disait Coluche, il suffirait de ne plus l'acheter pour que ça ne se vende plus. Bon, il a fini à la Bérégovoy, certes, en avance sur son temps toutefois, certes, jetés sur le bord du pavé, du marronnier, bouches liées, esprits terrorisés...
Le spirituello-bien-être, dans sa globalité basse, est un ensemble faisant partie du monde, bien qu'il se sente à part, et qui est rattrapé par le marketing à outrance, la mode... Comme tout.
Pas de surprise. A force de se sentir à part, il est partagé. En soi. Pas de conscience d'unification des particules. C'en devient ridicule.
Même la Doreen a chuté. Tu parles d'une Virtue... Virtualité, oui. Il y a aussi le McDo de l'énergie : groupuscules américains vendant en Europe leur système pyramidal, bars toujours plus hautes mais jamais nourricières au final. Ou l'occidentalisation des sushis, quitte à perdre la dynamique originelle du mouvement ancestral, dénaturé, non transmis en totalité, et dans un langage utilisant des symboles dont la plupart des gens ne comprennent pas une once... J'entends le Rey qui... Qui est le roi de votre système d'aide ? Hum... Vous connectez-vous à un rassemblement qui prône l'autonomie et qui, pourtant, ne vous en laisse pas vraiment dans la gestuelle ? Ou qui régente la tenue vestimentaire ? Ou qui bafoue les lois cosmiques ? Virtualité de la vertu, fast food des énergivores... J'ai du mal... Ouf, hier, j'ai appris, mille mercis, que, dans d'autres langues, on pouvait y entendre l'appel de l'âme, M'AL.
Oui, vague à l'âme.
Eh bien on va surfer ! :-)
Quand j'entends que la phrase-type de toute conversation de certaines personnes dans le « spirituel » est « c'est juste », je ne peux m'empêcher de me poser des questions et de constater (pardon mais je n'anime pas des ateliers « philo » pour rien, cohérence...;-) ) : ..que ça manque d'arguments et que c'est bien caché par cette phrase magique,
..que cette phrase est en train de devenir une violence verbale ordinaire (si c'est juste, comment te permettrais-tu de rétorquer quoi que ce soit, au risque de ne plus paraître juste toi-même?),
..que la pauvreté n'est pas que misère du porte-monnaie,
..que l'on peut être bien démuni face à des prédicateurs prédateurs d'énergie, tels des petits vampires... ou des tiques.
Personnellement, j'ai eu la chance de faire une rencontre magnifique l'année dernière. Week-end pascal. Ça ne s'inventait pas, c'était marqué, prévu, prédit. Souffle et voix. Je sais assez bien utiliser ma voix, me faire entendre, pour écrire. Dire. Mais chanter ?? et parfois je manquais encore de souffle...
Éreintée par la violence de ce monde.
Conscience « cristal » que je suis, il y a bien des points différents en moi sur de drôles de sujets pourtant établis pour la majorité...
Respire, ça libère.
Inspire, ça scintille comme le verre.
Expire, ça enlève l'amer. (en ce jour de fête des mères, je ne ferai pas l'affront de relier ceci à cela, mais pourquoi un tel tapage commercialisé pour la fête d'un parent et pas d'un autre ? C'est tout sauf unifiant. Idem pour les autres « fêtes » non rassemblantes au final, celles de la grand-mère (qui ne le serait pas si le grand-père n'avait pas été là...), les secrétaires – secret, taire... Sympa ! Oui, c'est sûr, j'ai envie de célébrer cela, non mais !! Fêtons plutôt tous les humains, simples, en dehors du rôle familial, économique ou social !).
Ah ! Je respire. Mickey 3d nous le disait aussi, en le chantant. Ça passe mieux, en chanson. Dixit le Michel (Sardou).
Oui, je tente de m'assagir mais je suis tout de même un juke-box d'associations idées-musique-paroles-mots-croyances-ancrages inconscients à nettoyer:-) ! Bon, je referme la parenthèse des « Mi-Mi ».
Do ré mi...
#Respirer. Et il ne reste que le cœur qui palpite, comme le foulard de madame Arnoux, dans l’Éducation Sentimentale (Flaubert), qui palpitait au vent... Souchon nous murmure aussi que la foule sentimentale, c'est nous. Soif d'idéal. Pas de faux-prophètes, pas de faux tunnel de lumière artificielle, pas de guru occidental de la méthode d'implantation tyrannique via les empreintes émotionnelles... Le milieu spirituello-bien-être palpite, lui aussi, mais au gré d'un vent qui manque d'authenticité parfois.
Je ne cherche pas à généraliser : j'entends les cas particuliers.
Toutefois, on sait, par exemple, que des personnes peuvent entrer par force dans votre champ d'énergie pour asseoir leur pouvoir via leur soin, juste dans le cadre d'une discussion, et vous dire « oh c'est juste, ne sois pas mal à l'aise, je canalise ! ».
Mais tu canalises quoi, bordel ?! Oui, toi, la personne que j'ai du mal (encore) à qualifier de confrère, de consoeur. #Conscience ??
« Bordel »... Vocable tout à fait indicateur, par son registre de langage, du niveau d'énergies, d'intentions et d'émotions émanant de celui ou celle qui passe en force, qui prend le pouvoir. Cependant, pour que l'autre passe en force, encore faut-il que vous hébergiez la croyance (erronée) que l'on a le droit de vous écraser...
Moi, parfois, j'ai déjà des remords à écraser la patate alors...(Oui, être vivant...).
Faudrait-il néanmoins la passer, chaude, sans rien dire ?
Hum... Pas certaine du tout.
Il y a ceux qui vous vendront tout et n'importe quoi, même une balade dans la nature, qui, pourtant, de fait, appartient à chaque être humain.Ce n'est pas pire que Nestlé qui embouteille les nappes phréatiques des environs de Vittel en vous parlant de vitalité... Ils vous diront qu'ils font payer leur présence à vos côtés... Hum. Vous avez le droit de vous poser des questions. C'est sans doute le signal, que vous, vous payez alors pour votre manque de présence à votre propre vie, à votre âme.
Je me pose souvent la question de la tarification de mon accompagnement. Je n'ai pas de certitudes. Je crois simplement que l'échange est nécessaire. Boucler la boucle du donner-recevoir. Assurer l'autonomie. Ne pas mettre en dépendance.
Donc, oui, le spirituello-truc-truc... Mouais, affûtons nos antennes, déployons nos cœurs : on ressentira bien assez tôt les intentions des gens qui n'ont pas besoin d'être méchantes pour être malodorantes. Quelqu'un peut être d'une très bonne aide pour vous sans être spirituel, officiellement... Si la personne est dans le cœur, elle EST spirituelle. Elle vibre l'amour de soi, le respect de soi.
Demandez-vous quel est le but de la personne quand elle veut vous « convaincre de »... Entendez-vous ? Quels sont ces longs serpents qui sifflent sur vos têtes ? Allitération en S. Répétitions. Cela tombe bien, si on regarde la graphie, on pourrait voir un serpent qui est prêt à attaquer, dressé sur sa partie arrière. Et en #numérologie, on nous enseigne que le S, c'est l'équivalent du soleil, de la générosité, de l'émotivité, du côté scintillant... Peut-être revenir...aux racines. Jean RACINE (dont la phrase incluant les serpents est une pépite littéraire, entre autres). J'en racine. On ne l'invente pas... Pourtant, on m'aurait parlé de la #languedesoiseaux durant mes années de Lettres Modernes, à Nancy ou à Paris X-Nanterre, eh bien j'aurais ri, j'aurais applaudi, j'aurai frappé dans les mains, j'aurais été émerveillée, j'aurais été amusée, j'aurais avancé, j'aurais cru, j'aurais joué le jeu de la vie heureuse, j'aurais relu, j'aurais réécrit, j'aurais écouté, j'aurais disséqué les mots, j'aurais compris pourquoi j'étais déjà une lectrice du dictionnaire étant enfant... Pardon, c'est un peu long. En même temps, je suis #auteure, je ne suis pas créatrice de post-it;-) ! Et la lecture, cela fait du bien : mieux que les vidéos, #vlogs qui amenuisent les capacités du cerveau parce que l'on délaisse les autres activités, nécessitant autre chose que la simple absorption... Et puis les vidéos, encore faut-il avoir le culte (ou le culot) de l'image ! Remarquez, cela s'inscrit dans la suite logique des selfies sans fin des ego fragilisés par des modes toujours de plus en plus délétères. Et l'éther dans tout cela ? Subtilement effacé.
# Je crois que je me suis trompé d espace-temps mais je m y fais de mieux en mieux ! #cestjusteuneillusion
Comments