Congruence vs Incongruence
Instant "lecture".
Je viens de finir de lire un livre, un #roman. Il est annoncé comme une histoire vraie mais fictive. Comprendre que les personnages apparaissant dans l'histoire sont à peine déguisés... et que, pour certains, il est facile de les reconnaître. C'est le principe de l'#autobiographie : vous citez à comparaître dans vos écrits ceux qui traversent votre vie. De gré ou de force. De gré ou de force, cela s'adresse à la citation ou au fait de traverser votre existence ? C'est un peu le sens du questionnement de ce roman.
Finalement, sommes-nous nos #mémoires, cellulaires ou non, prouvées scientifiquement ou non ? Sommes-nous les #souvenirs que l'on a inscrits en nous ? Que sommes-nous ? Qui sommes-nous ?
Tant que l'on ne sait pas répondre à ce type de questions, de soi à soi, on se rend dépendant de celui qui voudra bien nous éclairer. Quitte à devoir subir les pannes d'éclairage, les changements d'ampoule...
Le livre terminé, quelque chose m'intriguait dans cette histoire, une femme relatant son lien avec un pervers narcissique. Je décidai alors d'aller chercher quelques compléments d'information sur l'auteur via internet. Et j'arrive sur son compte Facebook. D'abord pas grand chose qui amène ou retire quoi que ce soit au sentiment d'#incongruence qui m'accompagne quand je pense à l'écrit et à l'auteur. Puis je tombe sur un message empli de colère qui nous saute aux yeux, à la gorge... Sur la pseudo-spiritualité de certains, à peine dessinés pour être plus ou moins reconnus, encore, et la plus grande #spiritualité d'autres, les médecins, dans le cas de la crise sanitaire qui a été imposée à nos réalités respectives durant ce printemps 2020. Et la personne invoque des #manipulations... C'est facile, des manipulations, il y en a toujours eu, partout, tout le temps, mais pas chez tout le monde. Alors, surfer sur la vague de la #colère et du dégoût pour hurler son #désespoir dans une tribune grisée par la folie de se savoir écouté ? Voilà qui clôt le sentiment d'incongruence que j'avais réceptionné à la fin de la lecture du roman.
Si le roman est bien écrit, voire très bien écrit, et ancré dans le thème de la traversée de la vie en tant qu'humain... L'énergie qui s'en dégage, elle, reste assez sommairement à l'image de son auteur : lourde par moments. Lourde ne signifie pas que la personne est bien ou pas bien, dans le relationnel. Cela signifie que des mécanismes de l'ancien monde sont encore présents. Prédation, moi je, j'ai peur. Qui est comme cela ? Des personnes qui ont peur. Qui a des peurs ? Presque tout le monde. Oui, je dis « presque » car j'ai toujours une réserve quant à des personnes œuvrant comme figures de proue dans le développement personnel et dont on sait, dont on vérifie à leur contact, qu'elles sont #congruentes. Alors je choisis de répondre qu'il y a des personnes qui ont découvert, reconnu et accueilli leurs peurs afin de ne plus être dominées par elles.
La #domination... Ce ne serait que l'autre mot de la prédation. Apprenez à découvrir vos peurs, à les reconnaître et à les apaiser, et vous en serez débarrassé des prédateurs de toutes sortes.
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