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Et si c'était de ma responsabilité...?


Imaginez : vous êtes seul(e) sur votre scooter, vous dérapez, les secours tardent à arriver... Est-ce de votre responsabilité ou de la leur, ce délai ? Les secours ont leur propre organisation, leurs propres délais. Votre responsabilité touche l'accident, le fait de déraper, de devoir attendre que quelqu'un vous aide.

Certains diront que c'est un cas fortuit, ce dérapage.

Il n'en est jamais rien.

Rien de fortuit.

TOut est relié, dans la vie, à vous-même. VOus êtes un être émotionnel, spirituel et pensant. Voire, sachant qu'il pense. On boucle la boucle :-) !

Alors, oui, il existe des situations où le débordement émotionnel intérieur ne permet pas de patienter, de réfléchir, de philosopher, de parler avec calme, de ne pas exiger, de ne pas vouloir maîtriser... Ces situations sont pourtant les vôtres, construites par vos propres émotions/pensées. VOus en êtes donc responsable.

ESt-ce que certains auraient envie d'ajouter "responsable mais pas coupable" ? Hum... A mon sens, cela dépend des cas. De ce que vous faites. De ce que vous créez dans ce monde. Si vous créez des troubles, vous êtes coupable. Si vous créez de la joie... Vous êtes coupable aussi ! :-)

Coupable, ça renvoie à l'idée de faute. La faute, on croit souvent qu'elle doit être consciente pour qu'elle nous soit reprochée.

Mais... pardon, ça c'est le raisonnement adulte... et lorsqu'un adulte, dans 95 % des familles, s'occupe d'un enfant qui a commis une bêtise, que lui dit-il ? C'est de ta faute, tu ne pouvais pas regarder où tu allais, C'est de ta faute, tu es inattentif, tu ne prévois pas tout...

Euh, pause.

Un adulte commet des bêtises, alors comment voulez-vous qu'un plus jeune (et donc moins expérimenté) n'en commette pas ? Hum...

Il est facile de poser des étiquettes et de reprocher à autrui, surtout à des plus jeunes que soi... Mais le vrai travail sur soi ne serait-il pas de s'observer soi-même fin de ne plus être un exemple qu'on n'aime pas tellement ?

Oui, parce que le fond du problème, c'est qu'on ne s'aime pas tellement. Qui, s'aime vraiment en totalité, avec de l'amour de soi, de l'estime de soi et de la confiance en soi ? Hum...

Alors l'axe de travail personnel pourrait être celui-ci : doper son amour de soi.

Ajouter à cela la compréhension de l'âme humaine, vous obtenez alors une synergie tout à fait intéressante pour vous sentir responsable de vous-même, donc de vos pensées, émotions, mots et actes (PEMA) et ne plus imposer aux autres vos manques de compréhension, vos peurs, vos besoins de sécuriser et de cadres.

Dans l'accompagnement que je propose, PEMA, vous utiliserez des outils à courte échéance pour vous reconnaître dans votre être intérieur, ce qui vous appartient et non ce qui appartient aux mémoires cellulaires familiales par exemple.

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