Si on s'aimait...
Si on s'aimait, on s'écouterait plus.
On s'autoriserait à faire ce qui est bon pour nous sans éprouver de culpabilité outre mesure parce qu'autrui ne partagerait pas notre avis. On ne chercherait pas sans cesse l'approbation des autres...
Alors ? Comment fait-on ?
S'aimer, c'est s'accepter, tel que l'on est.
On est comme un mille-feuilles. C'est l'image de la richesse sensible. L'empilement d'une variété sans fin. Mais une variété de quoi ?
Aaah ! D'un corps physique, de corps énergétiques, de chakras, de méridiens... Bref, la panoplie citée en médecine traditionnelle chinoise ou dans l'ayurvéda (ah oui ! je sais, du coup, ça ne nous rend pas plus forts, les autres avaient déjà tout découvert avant nous, il y a quand même quelques milliers d'années ;-) ).
Nos émotions densifient nos corps énergétiques. Ou les amoindrissent.
Nos pensées : idem.
Oui, j 'entends les sirènes des clavecins traditionalistes en termes de cartésianisme : ouuuuh, mais c'est faux. Bon, alors, euh... Comment vous dire ? En tant qu'énergéticienne, je ne fonctionne pas du tout comme vous, les saintomas "je ne crois que je ce que je vois". sans vouloir vous offenser bien sûr.
Au contraire, je vois-je ressens-je goûte-je teste...et je crois ensuite.
Le résultat ?
Je crée ma propre recette du bonheur fait pour moi.
Je vous invite à pratiquer de même.
Dans mon millefeuilles, j'héberge des mémoires familiales, entre autres.
Elles sont constituantes de mon être. Même si je ne me sentais pas en adéquation avec...
Si cela ne me convient pas, il existe des techniques d'allègement, de rééquilibrage, de soins.
Par exemple, en une séance, je puis vous aider à nettoyer déjà pas mal de choses lourdes : répétitions d'accidents dans votre famille ou dans votre propre vie, relations sentimentales bancales, échecs à répétition...
Dans mon amas de feuilles-strates énergétiques, je loge mes propres peurs et traumas de vie. Ai-je vécu une maladie grave ? alors mon corps, dans ses cellules, en garde encore la trace, peut même la réactiver de temps à autre (oui, je sais, ça ressemble fort à la récidive mes chers...).
Eh bien la bonne nouvelle, c'est que tout ce qui a été apeurant, désagréable, limitant... On peut le rectifier, le diminuer !
Quand je vous reçois pour quelque motif que vous me donneriez (mal au dos, lumbago, angines à répétition, cancers, séparations sentimentales conflictuelles, perte d'un job, célibat, eczéma, dépression, énurésie, fibromyalgie, kystes, phobies...), je recherche les zones, dans vos corps énergétiques, qui sont envahies par la peur. Peur que cela recommence, peur que les autres découvrent votre vie cachée, peur de ne pas être apprécié, peur d'être rejeté...
Et je remplace cela par...
Facétieuse comme je suis, j 'ai failli terminer l'article ici et vous souhaiter la bonne soirée ! ah ! ah ! ah !
Mais non, on se reprend ! Donc, remplacement par l'énergie de l'amour !
Et oui !
Si on s'aimait, tout serait plus facile.
Un être qui ne s'aime pas, qui ne s'apprécie pas, ça donne cela : manque de confiance en soi, manque d'estime de soi, manque de libido, perte d'élan vital parfois, diminution des projets, raréfactions des sorties de la zone de confort...
Bref ! On a compris, hum ? ;-)
Si on s'aimait...
Je vous le souhaite : si on s'aime, on est complet et on n'attend plus que quelqu'un nous remplisse d'amour. Par exemple : se trouver un compagnon/une compagne de vie pour être comblé. On devrait être comblé d'être, tout simplement.
Ce qui n'empêche aucunement autrui de nous apprécier, de nous aimer -) !
Et par la loi d'attraction énergétique, si je ne m'aime pas, j'attire à moi des gens qui sont dans le même bain énergétique.
Si on s'aimait, on laisserait libre cours à notre enfant intérieur. En s'aimant, on se respecte. On ne peut alors que respecter autrui.
En défaillance d'estime de soi, d'amour de soi, on recherche des partenaires-situations de réparations : on charge l'autre de compenser pour nous...
Et après on s'étonne encore du nombre de divorces ?
Bon, il y a encore plein de choses à dire, revenez la prochaine fois !
Et soyez heu-reux !
