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Et puis un jour, on s'en fout ;-) !

Cette phrase passe d'un réseau social à un autre, chacun se l'approprie, se la fait sienne.

C'est dire si on vit dans une société qui se sent mal ;-) !

Mais, en même temps, c'est vrai qu'un jour, on s'en fout.

De ce que les autres pensent de soi. De ce que nos peurs nous empêchaient de vivre.

De plein de choses.

A ce moment-là, on n'en est pas encore à réenchanter son quotidien mais bon...

Ah oui, vous avez remarqué le mot à placer "réenchanter" ? ;-)

C'est un post ultra tendance, profitez-en, ça ne durera pas.

Pourquoi ?

Parce que le diktat d'une mode est trop dans la force pour que cela me convienne, et, partant, vous convienne me dis-je aussi. Même si je ne vous connais pas encore bien, il y a un une chose dont je suis sûre : ce qu'on essaie de nous imposer n'est pas bon pour nous.

Si c'était bon pour moi, je saurais, en tant qu'être humain sapiens sapiens, le détecter immédiatement, instinctivement.

D'ailleurs, observons un enfant, même tout petit : il sait ce qui est bon pour lui, il expérimente et se plante parfois, certes, mais globalement, si on a su lui donner de la confiance en soi et de l'estime de soi, il sait se diriger vers ce qui est bon pour son équilibre.

Ouuuh, je vous entends : ça crispe dans la mâchoire, n'est-ce pas ? ;-)

On a envie de dire quelque chose et on se retient ? ;-)

Eh bien oui, ici, c'est clair et net, on considère qu'un enfant est un être sachant (ou sapiens sapiens, si vous préférez) à part entière.

Laissez à sa disposition un joli matelas confortable dans la pièce où il joue et il ira de lui-même, après qu'on lui aura expliqué le système, se coucher quand la fatigue lui tombe dessus à bras raccourcis.

Méthode Montessori.

Bon, donc, un jour, on s'en fout.

Mais de quoi ?

Eh bien des gens qui vous forcent à faire comme ils l'entendent, comme ils le jugent bon pour vous...

On vous suggère une méthode, essayez-là et faites-vous votre idée, vous-même !

Ah ouiiii, c'est vrai, certains vont se dire que ce n'est pas facile de se départir des croyances inculquées par les autres. Parce que c'est bien de cela dont il est question dans cet article !

On m'a toujours dit que le rose allait bien avec le vert, alors je les associe ! Oui mais est-ce que cela me plaît ? Est-ce que je le fais pour être "à la mode" ? M'arrive-t-il de me demander si je ne pourrais pas changer le duo de couleurs ? Et alors, qu'est-ce qui me retient de passer à l'action ? Ce qu'en penserait autrui... ?

Ce fil de questions mène en général à un point basique : vais-je toujours faire partie du groupe, du clan familial, etc ? Si je me démarque du clan, en fais-je encore partie ?

Inconsciemment, votre personnalité (votre ego) aura tendance à vous faire serrer les rangs et à doper votre instinct grégaire.

Pourquoi ?

Les mémoires cellulaires. Le bébé que vous étiez a engrammé (mémorisé) le fait que, sans clan familial autour de vous, vous étiez voué à mourir rapidement car totalement dépendant des bons soins de votre entourage. De ce point mémoriel s'ensuit une suite de réactions en chaîne : que faire, qui être pour rester dans le clan, être aimé ?

Par déviance, parfois cela dope le besoin de reconnaissance de certains....

Qu'est-ce à dire ? Une personne peut chercher durant toute sa vie, inconsciemment, la reconnaissance de ses pairs (de son père, de sa mère) quant à son travail, sa réussite sociale, financière, etc. Dès lors, des mécanismes psychologiques vont mettre la personne sur des chemins qui ne sont pas les siens mais qui peuvent apporter de la considération. Vous vous rendez compte ? De la considération !

Alors que l'être humain fonctionne.... à l'amour !

Et si le besoin de reconnaissance est fort (autant dire que ce n'est pas terrible-terrible ;-) ), eh bien c'est que l'enfant que vous étiez n'a pas été nourri selon son besoin EN AMOUR.

Un tout petit être arrive sur Terre et carbure à l'amour, point.

Et quand il devient grand et qu'un jour, il s'en fout et qu'il jette le bébé avec l'eau du bain, c'est qu'il souffre ! Et qu'il cherche un moyen de combler les lacunes du passé.

Heureusement, il y a de belles manières de rattraper les choses.

Par exemple, ne pas condamner les éduquants qui ne vous ont pas donné ce dont vous aviez besoin (parents, famille, éducateurs, instituteurs,amis, etc.). Les juger et les critiquer ne fait qu'alourdir votre peine. Ils ont fait ce qu'ils ont pu. Psychologiquement, certains "adultes" n'en sont pas. C'est-à-dire qu'ils ne sont pas matures. Alors pourquoi voudriez-vous leur en vouloir ? En veut-on à vie à un enfant qui vient de faire une bêtise ? Non. (euh, si vous avez répondu mentalement "oui", faudrait qu'on en reparle siouplaît ;-) ).

Idéalement, on parle, on explique ce qu'on attendait et ce qu'on aurait aimé recevoir (attention, encouragements, présence, amour, câlins, confiance...).

Parfois, le dialogue n'est plus possible (personne décédée ou murée dans le silence, voire colérique, etc. ). Il vous reste tout de même plusieurs solutions pour vous alléger, dont celle-ci :

prenez une feuille de papier et un stylo. Ecrivez tout ce que vous auriez voulu dire à la personne en question. Tout.

Puis, vous jetez la lettre à la poubelle, en la détruisant en petits morceaux, ou vous l'éliminez par le feu, comme vous voulez. Ce qui compte, c'est que vous la détruisiez (inutile par exemple d'aller la relire un beau jour de déprime !) et que vous soyez seul au courant de cette action libératoire par les mots. Vous ne donnerez donc pas la lettre à la personne concernée (si elle n'est pas prête à recevoir ce que vous avez déjà essayé de lui dire oralement, elle ne le recevra pas plus par écrit).

Il est toujours très utile de se demander si autrui, en face de soi, est prêt à entendre (recevoir) ce que l'on a à lui dire. Sans quoi, on va dans le mur. Aïe pour moi, aïe pour toi ;-) !

Je reviendrai sur ce sujet de la libération émotionnelle par les mots, qui peut être utilisé dans bien des cas. Ne sous -estimez pas le poids des mots. Poids énergétique s'il en est !

Prendre soin de vos mots, c'est prendre soin de vous, de vos énergies.

Une envie de dire quelque chose à quelqu'un, c'est naturel, c'est émotionnel.

Vous êtes un être émotionnel.

Observez vos émotions, vos mots, vous verrez diminuer vos maux.

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