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Soyez heu-reux, qu'est-ce à dire ?

Aujourd'hui, tout nous incite à aller vers le bonheur.

Quand on n'y court pas, on culpabilise.

Quand on croit y être, on ne sait plus où on en est en fait.

Finalement, le bonheur est-il identique pour tout le monde ?

Bien sûr que non, chacun s'en fait sa propre idée.

Alors pourquoi certains courent après un bonheur dessiné et créé par des courants de mode journalistique, par l'intelligentsia...?

C'est parce que peu d'entre vous connaissez votre for intérieur, oui, ce qui bouillonne au fond de vous, ce qui fait que vous êtes Bernard et non pas Paul.

Pour être heureux, il est nécessaire d'être soi, au plus profond de son âme, et d'être en accord avec soi et non pas les mouvements et idées changeants d'autrui.

Si lire me rend heureuse, pourquoi arrêterais-je ?

Si courir te rend heureux, pourquoi stopper la course à pied ?

Si ne pas avoir d'enfants vous sied, pourquoi essayer d'en avoir ?

Si ...

Bref, vous avez compris :-) !

Ici, on ne cherche pas à juger et à dire ce qui est bien ou mal, pour l'établissement d'une vie rangée, correspondant à certains critères, on cherche juste les éléments qui feront que vous, oui, vous, serez heu-reux !

Si je suis mise dans une boîte, une case qui correspond à la moyenne, est-ce que mes idées, mes aspirations et mon corps vont s'y trouver confortablement installés au point de déployer ...leurs ailes, leur créativité ??

Assurément non !

Chaque être humain a des capacités intellectuelles, psychiques et émotionnelles qui lui sont propres. Nous avons tous des ressemblances avec certains de nos proches, qu'ils soient issus de notre famille biologique ou de notre cercle amical. Mais nous sommes des êtres totalement uniques, aucune copie exacte n'existe.

Pour quelques personnes, il sera bon et réconfortant, voire rassurant, d'être dans le clan, le groupe, comme les autres quoi !

Au mépris de leurs plus profondes aspirations émotionnelles.

D'autres sauront s'éloigner à temps d'un environnement toxique. Reste la phase de reconstruction après...

Un environnement toxique est celui qui nuit à votre bien-être.

Exemples: Vous n'osez pas dire ce que vous pensez (peu importe la raison), vous n'osez pas parler de vos goûts, de vous, de votre vie, de vos envies ? Bim ! vous êtes en face d'un environnement qui ne matche pas avec votre seuil énergétique du moment. Quézaco ? Nous évoluons tous sur des seuils énergétiques qui sont fluctuants, par essence. En fonction de nos émotions et de nos pensées, de nos charges également (comprendre : blocages émotionnels, psychiques, physiques. Issus de peurs, variées, qui sont à la base de tous dysfonctionnements. Si j'ai peur d'être rejetée par tel groupe de nouvelles personnes, j'envoie une énergie propre à la peur du rejet. Les énergies en face de moi, celle de l'univers, ne cherchent pas à savoir si c'est bien ou pas bien d'avoir peur, elles renvoient l'équivalent ! donc je recevrai en masse de l'énergie de peur (qui me fera peur) et de rejet (qui alimentera ma peur, et qui va, ensuite, créer une situation ... de rejet).

Reprenons notre souffle et observons le sujet, vous : qu'aimez-vous réaliser ? qu'aimez-vous comme loisirs ? qu'aimez-vous être ?

Ah oui, c'est sûr, cette troisième question vous affolera un peu les neurones : aimer être ? Mais comment cela ?

Par exemple, j'aime être à l'aise dans mes vêtements.

Ou j'aime être en compagnie de personnes bonnes pour mon équilibre.

A contrario, je n'aime pas être avec des personnes loin de ma perception du monde, (c'est-à-dire: l'action et la relation s'organisent autour de l'énergie d'amour (ou via des pensées généreuses, on pense autant aux autres qu'à soi en somme, voire on sait donner avant de recevoir).

Approfondissons.

Ce que j'aime, pourquoi, comment, où, avec qui, et que ressens-je alors ?

Il est important aussi de relever ce qu'on n'aime pas afin de bien prendre conscience que, parfois, on a vécu selon les préceptes des autres et que, maintenant, cela suffit !

Par exemple, je n'aime pas être avec des gens qui ont besoin de s'enivrer pour sortir d'eux, parler, s'amuser. Pourquoi ? Parce que cela rend le groupe inconfortable à plus ou moins long terme, l'alcool désinhibant des pans de la personnalité qui restaient tapis en raison de blocages émotionnels, on peut donc aisément imaginer et comprendre pourquoi certaines situations alcoolisées dérivent rapidement ...

Ou, plus prosaïquement, je n'aime pas manger certains aliments. Et je me fiche de savoir s'ils sont bons pour la santé. Je n'ai pas de goût pour eux. Je n'ai pas besoin d'eux. Si ce qu'ils ont en eux (vitamines, oligo-éléments, etc.) m'est important, je saurai le retrouver ailleurs.

Avec le relationnel, c'est pareil. Si vous êtes en relation avec un compagnon ou une compagne mais que la relation vous devient lourde, c'est qu'il y a un problème, au moins un ! un manque de goût pour la façon dont se déroule les choses...

Oser regarder cela en face permet de se libérer !

Dès que l'on ose être en accord avec ses pensées, on vogue de façon légère vers son bonheur !

S'il m'est important d'être dans une relation de tel type (ici, on essaiera de la définir autant que possible comme "équilibrante" et non pas, par exemple "me comblant d'amour" car ceci reviendrait à dire que vous êtes un manque qui doit être ... comblé ! Idem avec les personnes qui disent de leur compagnon qu'il est un père, un amant, un ami, tout quoi... Euh A-t-on vraiment besoin de revenir sur ce point ? Soit vous vous cherchez un père, soit un ami, soit un amant. On pense à certaines limites tout de même, qui sont elles-mêmes structurantes pour votre personnalité. Ou alors on se regarde une bonne fois pour toutes le nombril et on évacue le complexe d'Oedipe pour les garçons, l'irrésistible besoin de reconnaissance d'un père qui fut toujours absent pour une petite fille, etc.).

Ah oui, vous avez noté le glissement vers l'introspection, hein ? ;-) En effet, on revient toujours à soi.

Comprendre comment l'on a fonctionné jusqu'à aujourd'hui permet de saisir plus d'opportunités de bonheur ici et maintenant.

Et c'est urgent !

Il y a quand même encore beaucoup de personnes qui se mettent en couple en croyant à une histoire d'amour "pour toujours" et qui, en réalité, sont téléguidées par des émotions enfantines ne quémandant que de l'attention, des preuves qu'on est "aimable" (donc digne d'être aimé)...

Par exemple, un garçon ayant reçu peu d'amour, d'attention et d'affection quand il était petit peut valablement en ressentir un manque. Qu'il peut essayer, selon les cas, de combler par des relations sexuelles multipliées. A l'infini si cela lui était possible.

Mais la sensation de vide à combler sera toujours présente car la relation est basée sur du sexe et non du partage, de l'amour, etc. VOus recevez ce que vous envoyez.

Trop souvent, ce sont des mécanismes inconscients qui vous font encore agir. Soyez conscient(e)s. Que par exemple vous avez pu sortir avec quelqu'un pour avoir de la chaleur, du contact, mais bien sûr, cela ne peut être simultanément une situation-relation qui donne de l'amour. Ou que vous êtes sorti avec une femme qui ressemble tellement à votre mère, c'est ce que tout le monde vous dit, mais vous, vous ne voyez rien de tout cela...Et pourtant !

Les exemples de relations sentimentales (ou amicales) biaisées par des blocages émotionnels relevant de l'enfance, voire de la grossesse de votre mère, sont pléthores.

Etre heu-reux, c'est oser sortir du lot dans lequel on est inséré depuis notre naissance. oser se démarquer des croyances dans lesquelles on baigne depuis notre conception. C'est par conséquent faire le tri entre ce qui nous appartient, ce qui nous va bien au teint si vous voulez, ce qui nous rend confortable... Et ce qui nous déplaît, nous gêne, nous agace, nous étouffe, nous perturbe, nous fait peur, etc.

Attention toutefois aux faux bonheurs.

Ceux que l'on s'est construits par rébellion ou par rejet des modèles largués par ses ascendants.

Par exemple, on peut être en relation sentimentale pendant des années avec une personne nuisible à notre équilibre (ce qui ne veut pas forcément dire que cette personne est uniquement nuisible, c'est simplement qu'elle ne peut pas concourir à nous apporter de l'équilibre) en laquelle on a investi tout un tas d'espoirs (qu'elle nous hisse au rang des personnes stables, considérables, aimables, etc)... alors que tout cela devrait être déjà inhérent à notre propre nature !

Aimez-vous vous-même ! Puis, vous rencontrerez une personne de même niveau énergétique, qui s'aime, qui sait pourquoi elle est sur Terre...

Osez vous accorder de la bonne attention, du bon amour, tout ce que vous voudriez recevoir de l'extérieur en fait. Comblez-vous !

Et enfin vous atteindrez un seuil énergétique satisfaisant, optimal.

Et exit les rencontres (sentimentales, amicales, professionnelles) compliquées, dégradantes, malheureuses, humiliantes...

Soyez heu-reux, c'est en somme soyez plein d'amour envers vous-même, de compassion, de gratitude aussi.

Aimez ce corps, votre véhicule sur Terre, qui vous a permis d'être là à chaque instant. Chouchoutez-le. Même quand il souffre, qu'il vous fait mal, surtout à ces moments-là en fait.

Susurrez-lui que vous êtes fier de ce qu'il accomplit chaque jour, en votre faveur.

Remerciez-le pour toutes les épreuves qu'il a si bien su traverser.

Envoyez-lui de l'énergie d'amour (verte, brillante) de façon régulière, sous la douche par exemple, pour tous les petits miracles accomplis et à accomplir.

Aimez-vous diantre !

Focalisez sur les zones "faciles", que vous, vous appréciez, il y en a toujours au moins une.

Puis, osez vous regarder nu(e) devant un miroir et observez les beautés et trésors que vous hébergez :-) !

Oubliez les diktats de la mode, les personnes qui ont essayé de vous emmener loin de vous en vous imposant une image qui leur plait, à elles...

Soyez heu-reux :-) !

je vous le souhaite.

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