.Pensée Positive.
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On entend beaucoup parler de la pensée positive, de la nécessité de se concentrer sur ce qui fonctionne bien et d'oublier ce qui ne va pas.
Bon, donc « nécessité », O.-K. Mais comment atteindre le but de la méthode, quelle qu'elle soit ?
En écoutant son cœur. En décidant, un beau jour, d'aller différemment, voire mieux. Au début, la volonté d'aller mieux sera timide. Oui, car vous n'y croirez presque pas, ni en la méthode que vous aurez choisie, ni en votre capacité à remonter la pente. Alors qu'en fait tout le monde est capable d'aller mieux. Aller mieux est encore différent d'aller parfaitement bien, n'est-ce pas ? Alors il suffira d'avancer doucement, pas à pas.
Certains d'entre vous se demandent peut-être comment on fait pour choisir la bonne méthode. Je dirais qu'il est déjà bon de définir l'expression « bonne méthode ». Voulez-vous ce qui est bon... et qui a fonctionné pour votre copine Adeline ? Ou ce qui est relaté dans votre magazine féminin préféré ? Ou tout simplement bon pour vous ?
Choisir ce qui est bon pour soi est en réalité se décaler des choix d'autrui, au début. C'est accepter de prendre le risque de se désolidariser du groupe, d'un groupe. Le groupe de référence auquel on était habitué peut être laissé de côté un instant, on y survivra. On le vivra même très bien !
Souvent, on s'en remet un peu trop facilement au pouvoir de décision d'autrui. Par manque de confiance en soi. Donc par peur. Par fainéantise intellectuelle aussi, il faut bien le dire. Mais plus on laisse l'autre nous dicter ce qui est bon pour nous, plus on risque de s'éloigner de soi, de son propre Chemin de Vie. Et en général, cela ne rapporte pas gros...
Donc, choisir une méthode bonne pour soi, en faisant fi des avis des autres. Si les autres sont d'accord avec votre choix, tant mieux, sinon, on zappe !
Pour renouer avec son intuition, qui est un outil utile pour détecter ce qui est bon pour soi, il faut réapprendre (ou apprendre) à s'écouter. À suivre son fil émotionnel.
Par exemple : Je me rends dans un nouveau lieu à la mode. Tout le monde en dit le plus grand bien. A peine arrivée dans la pièce, j'ai le sentiment que mon corps se bloque, ou je recule d'un pas instinctivement, ou j'ai la gorge qui me pique... Bref, je ne me sens pas au super top de ma forme, et ce, en quelques secondes. Comment interpréter ces signaux de mon corps physique ? Simplement ! Je ressens un malaise physique ? C'est qu'il y a malaise entre mes énergies et celles du lieu, ou des gens m'environnant. Donc je m'en vais. Si je ne peux me permettre de partir immédiatement (pour des raisons professionnelles, amicales...), je me prépare mentalement à tirer le meilleur parti de cette expérience. En me focalisant sur une pensée générale du type « tout ce qui est ici est bon pour moi ».
N'oublions pas que nous sommes des êtres spirituels vivant une expérience humaine. Comportant des expériences donc régulières : nos rencontres, nos épreuves, nos réussites, etc.
Il y a cependant une limite très importante à poser : si on a la sensation que c'est violent et irrespectueux, on n'a aucune raison de vouloir le vivre ou le traverser, à moins d'être masochiste.
Revenons à la méthode que nous devons choisir pour pratiquer la pensée positive. Vous lisez un magazine, un article ? On vous parle d'une méthode particulière, ça vous emplit de joie, ça vous parle ? Alors essayez ! Et si en essayant vous vous rendez compte que le livre vous endort ? Que la conférence vous ennuie ? Eh bien cela ne signifie pas que vous vous êtes trompé de méthode, pas forcément. Peut-être devez-vous travailler encore un peu sur vous et persévérer pour avancer et intégrer cette méthode. Ou peut-être qu'en effet ce n'est pas une méthode pour vous et vous devez donc apprendre à mieux discerner, voilà pourquoi on a mis cette méthode sur votre chemin...
Faites-vous confiance !
Bon donc, partons maintenant du principe que vous avez trouvé la méthode adéquate pour pratiquer la pensée positive.
Vous êtes donc au courant maintenant des bienfaits pratiques que l'on récolte de ce type de pensées ? Oui ?
On partage avec les autres ?
Allez, c'est d'accord, on partage !
Chacune de vos pensées émet une énergie. Comme chacun de vos gestes, comme votre vie, qui est énergie et qui envoie de l'énergie.
On envoie, on reçoit. On vit dans un échange énergétique permanent, en lien avec tout et tous. Qu'on s'en rende compte ou non, que nos ressentis subtils soient développés ou non.
En pensant sans cesse à vos problèmes et à ce qui ne va pas chez les autres, vous envoyez de l'énergie sur ces sujets-là précisément. Vous les nourrissez. Qui nourrirait le monstre, à part son esclave ? Vous avez le choix bien sûr entre vouloir continuer à nourrir ce qui vous blesse ou nourrir ce qui vous rend joyeux.
Ah ! Mais au fait... Voulez-vous être joyeux ?
Oui, bon, ça va :-), j'en entends râler d'ici... « Bien sûr que je veux aller bien et être joyeux ».
En fait, rien de moins sûr. Enfin, entendons-nous bien : oui, vous voulez aller bien mais vous ne voulez pas lâcher certains états d'être qui sont ancrés en vous (et dont vous n'avez peut-être pas conscience, hein, donc on ne se culpabilise pas;-) ).
Le statut de victime, en premier lieu.
Silence dans la salle... :-)
Oui, le statut de victime. Un exemple ? D'accord. Prenons un homme qui est à l'aise financièrement et qui est joli garçon. Il est de plus un brin vantard, enfin, selon lui, il sait mettre en avant ses atouts (sa réussite professionnelle, le soin qu'il prend de son corps). Et puis un jour, le voilà en patient qui nous dit : « Je ne sais pas comment ça se fait, mais je tombe toujours sur des femmes qui ne s'intéressent finalement qu'à mon argent et pas à ma personne ». Le Monsieur se sent tristounet, n'est-ce pas ? Et il décrit la situation comme injuste car autrui ne prête pas attention à ce qui lui semble important : lui, et non ses attributs financiers. Il est victime de femme vénales. Ouhhhh la femme vénale est forte et méchante. Certes la femme vénale n'est pas un rôle premier en termes de moralité mais en termes énergétiques, c'est l'égal du rôle de la victime jouée par le Monsieur. Elle, elle se conduit en bourreau (des cœurs) car lui s'est placé d'office en victime. Si vous vous définissez comme une personne qui a « toujours » tel problème, vous vous mettez vous-même dans une case dont vous aurez du mal à sortir au regard subtil des autres.
Si inconsciemment vous vous décrivez comme une victime de tel type de femmes, pourquoi pourriez-vous attirer un autre type de femmes ? Energétiquement parlant, ce n'est pas possible. Vous envoyez une image de vous tronquée, négative, mauvaise ? Vous recevez des gens autour de vous qui confirmeront par leur comportement que vous êtes négatif, mauvais, incomplet.
Donc, pour en finir rapidement avec le statut de victime : votre pensée vous définit. Tâchez de vous penser correctement, comme l'être exceptionnel que vous êtes, ainsi que tout le monde. Personne n'est meilleur ou moins bien qu'un autre. Tout le monde est parfaitement à sa place. Concentrez-vous sur vous, cela sera aussi bon pour les autres, quoi que vous en pensiez. En effet, une personne qui va bien est un bienfait pour l'humanité.
Vous pouvez affirmer régulièrement pendant au moins trois semaines (temps nécessaire au cerveau pour dessiner de nouveaux « raccourcis » dans vos modes de pensées ) que vous êtes beau, belle, gentil, aimable, aimé(e), etc. Peur de tomber dans l'égocentrisme ? Mouais, c'est surtout que le mode de pensée judéo-chrétien ne vous lâche pas et ne vous autorise pas à vous AIMER vous-même ! Allez, osez ! Osez changer ! Aucune crainte, vous vous libérerez !
Si je m'aime, les autres peuvent alors m'aimer.
Si je ne m'aime pas, les autres sont énergétiquement et subtilement autorisés à ne pas m'aimer, ou à m'aimer incorrectement (en me soumettant à leurs désirs, en me faisant croire que je ne suis rien sans eux, etc.). Et je ne peux les en rendre responsable, sinon je me place de nouveau en victime qui est blessée... alors que chaque être humain est créateur de sa propre pensée, partant, de sa propre réalité.
Si je m'aime, je pense positif.
Si je prends soin de moi, je suis dans la création positive de ma réalité.
Je pense négatif quand : je parle longuement des problèmes du travail, relationnels, de l'accident de la route qui est relaté dans les journaux (alors que je ne connais personne d'impliqué dedans, donc je pourrais très bien en prendre note, avoir de la compassion et passer à autre chose), je ne vois que la mèche de cheveux rebelles dont je n'arrive à rien faire malgré la pose de produits chimiques, je pense que je vais avoir une journée fatigante car tout le monde dit que la vie en région parisienne est usante (et si je décidais que pour moi, ce sera juste une journée riche ?), je parle des enfants qui n'écoutent rien et du mari qui n'aide jamais pour le ménage (je pourrais, au lieu de me plaindre -statut de victime- passer à l'action et rénover les mœurs au sein de mon domicile, donc assumer mes pensées !)...
Vous avez saisi, n'est-ce pas ? On ne va pas en remettre une couche.
Mais par contre on va finir par une note positive !
Chaque jour, vous allez vous faire un #compliment. Pendant au moins trois semaines.
Un compliment, c'est : je suis belle. Je suis beau.
Ce n'est pas : je suis plus belle ou plus beau que... Ceci est une formule de comparaison, pas un compliment. Et en se comparant aux autres, on se rend malheureux car dépendant incessant de l'approbation d'autrui (miroir, miroir... ça ne vous rappelle rien ?:-) ).
Liste non exhaustive de compliments : je suis belle, beau, gentil, compassionnel, intelligent, observateur, partageur, généreux, à l'aise dans mon corps, attentif aux autres, doué en musique, en écriture, bon sportif, fair play....
Vous voyez le genre ?
Je vous laisse continuer la liste donc :-) !